le regard des autres
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le regard des autres
lE REGARD DES AUTRES
Que faire lorsque les autres nous renvoient à une image de nous même qui n'ai pas du tout celle qu'on semble projeté?
Que faire lorsque les autres nous renvoient à une image de nous même qui n'ai pas du tout celle qu'on semble projeté?
mademoisellei- Messages : 1
Date d'inscription : 01/02/2013
Re: le regard des autres
Voilà un bon sujet ! Une situation déstabilisante que nous avons tous vécue, moi y compris. Le cours donne une partie de la réponse, une piste. Aller plus loin est inévitable.
Deux idées dans le cours : connais-toi toi-même ! c'est donc bien toi qui te connais le mieux, qui apprend à te connaître, pas à l'aide des autres. Les autres ont un regard non seulement déformé par leurs propres petits-moi (projections), mais aussi fragmenté, il ne voit qu'un petit-moi à un moment donné. Rappelle-toi aussi le cours sur le non-jugement avec la BD présentant Bill et un chaton perdu sur le trottoir.
Mais je m'égare, puisque dans ce message, mademoisellei projette une image positive, me semble-t-il, celle-ci n'étant pas reçue aussi positivement ! D'où la deuxième idée, ou plutôt citation : Quelque chose de profond en toi, te dit que ce qu’on dit les autres n’est pas qui tu es. Quelque chose de profond en toi ... le SOI, ton centre. Laisse le vent fouetter les feuilles, tu es l'arbre. Stable.
Je ne disais pourtant pas cela quand j'avais 20 ans ! Il m'a fallu du temps pour en arriver là, et je n'avais pas eu de cours ... A 20 ans, je tempêtais, je me débattais, j'argumentais, j'essayais de prouver que ... jusqu'au jour où je me suis dit qu'ILS ne comprenaient rien. Ils n'ont rien compris ! Alors tant pis pour eux, je continue mon chemin, oui, mon chemin.
Peut-être une dernière chose pour temporiser. C'est Eckart Tolle, je crois, qui dit que devant de telles remarques, nous avons le choix entre deux attitudes. Soit cette remarque ne nous concerne pas, elle ne nous correspond pas, l'autre n'a rien compris, alors c'est juste un de nos petit-moi qui est momentanément troublé. Soit celle-ci est recevable, elle me permet de progresser, elle me fait vivre une situation nouvelle pour qu'émerge un peu plus le Qui je suis vraiment.
Deux idées dans le cours : connais-toi toi-même ! c'est donc bien toi qui te connais le mieux, qui apprend à te connaître, pas à l'aide des autres. Les autres ont un regard non seulement déformé par leurs propres petits-moi (projections), mais aussi fragmenté, il ne voit qu'un petit-moi à un moment donné. Rappelle-toi aussi le cours sur le non-jugement avec la BD présentant Bill et un chaton perdu sur le trottoir.
Mais je m'égare, puisque dans ce message, mademoisellei projette une image positive, me semble-t-il, celle-ci n'étant pas reçue aussi positivement ! D'où la deuxième idée, ou plutôt citation : Quelque chose de profond en toi, te dit que ce qu’on dit les autres n’est pas qui tu es. Quelque chose de profond en toi ... le SOI, ton centre. Laisse le vent fouetter les feuilles, tu es l'arbre. Stable.
Je ne disais pourtant pas cela quand j'avais 20 ans ! Il m'a fallu du temps pour en arriver là, et je n'avais pas eu de cours ... A 20 ans, je tempêtais, je me débattais, j'argumentais, j'essayais de prouver que ... jusqu'au jour où je me suis dit qu'ILS ne comprenaient rien. Ils n'ont rien compris ! Alors tant pis pour eux, je continue mon chemin, oui, mon chemin.
Peut-être une dernière chose pour temporiser. C'est Eckart Tolle, je crois, qui dit que devant de telles remarques, nous avons le choix entre deux attitudes. Soit cette remarque ne nous concerne pas, elle ne nous correspond pas, l'autre n'a rien compris, alors c'est juste un de nos petit-moi qui est momentanément troublé. Soit celle-ci est recevable, elle me permet de progresser, elle me fait vivre une situation nouvelle pour qu'émerge un peu plus le Qui je suis vraiment.
jean-pierre- Admin
- Messages : 35
Date d'inscription : 13/06/2011
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